Comme l’écrit Pierre Vernimmen dans son ouvrage Finance d’Entreprise, si le financier est sans doute un acheteur de capitaux, c’est aussi « un vendeur de titres financiers ». Cette conception fait écho au « commerce des promesses » titre retenu par Pierre-Noel Giraud pour son « petit traité sur la Finance moderne ».
L’idée est que le financier doit adopter à l'égard du marché financier une démarche marketing qui va consister à (i) comprendre les attentes des investisseurs et à calibrer sa promesse, (ii) à prendre les dispositions nécessaires pour la réaliser et enfin, (iii) à communiquer pour que les investisseurs soient rassurés sur l’exécution de cette promesse.
Cette rubrique "Valeur" porte sur le premier axe de cette démarche. Elle recouvre toutes les questions relatives à la valeur actionnariale des enteprises et la façon dont les investisseurs l'analysent et la quantifient.
Il faut donner aux conseils les moyens de leur indépendance et de leur efficacité
L'indépendance cognitive des conseils est aussi importante que l'indépendance de ses membres.
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